Mon Dieu ! toi qui sais tout, oh ! ne m’ordonne pas
D’atteindre aux sombres jours de la froide vieillesse ;
De voir mon corps s’user, et tomber pièce à pièce,
Et la destruction me gagner pas à pas ;
D’être un morne objet d’épouvante,
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CHUTE superbe, fin si douce,
Oubli des luttes, quel délice
Que d’étendre à même la mousse
Après la danse, le corps lisse !Jamais une telle lueur
Que ces étincelles d’été
Sur un front semé de sueur
N’avait la victoire fêté !Mais touché par le Crépuscule,
Ce grand corps qui fit tant de choses,
Qui dansait, qui...(Traduit du Russe, de la comtesse Ropstochin.)
Mon Dieu ! toi qui sais tout, oh ! ne m'ordonne pas
D'atteindre aux sombres jours de la froide vieillesse ;
De voir mon corps s'user, et tomber pièce à pièce,
Et la destruction me gagner pas à pas ;
D'être un...