En expirant sur l'arbre affreux du Golgotha,
De quel regret ton âme, ô Christ, fut-elle pleine ?
Etait-ce de laisser Marie et Madeleine
Et les autres, au roc où la Croix se planta ?
Quand le funèbre choeur sous Toi se lamenta,
Et que les clous crispaient tes mains ; quand, par la plaine,
Ton âme eut dispersé la fleur de son haleine,
Devançant ton essor...