Wir tappen tief durch Raps und Röhricht
Und Sumpf und Säume von wilden Wiesen
Und fallen nach Faltern und tuscheln töricht
Und narrn uns mit Mohnsam und müssen niesen.
Und wühlen uns wütend in Haufen Heues
Und juchzen und johlen wie fröhliche Fohlen
Und streifen ab unser Schwaches und Scheues...
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Ô lâches, la voilà ! Dégorgez dans les gares !
Le soleil essuya de ses poumons ardents
Les boulevards qu'un soir comblèrent les Barbares.
Voilà la Cité sainte, assise à l'occident !
Allez ! on préviendra les reflux d'incendie,
Voilà les quais, voilà les boulevards, voilà
Les maisons sur l'azur léger qui s'irradie
Et qu'un soir la rougeur des bombes...