Il est de tristes fleurs qui fleurissent fanées,
Aux crevasses des murs, sur les tours ruinées ;
Le soleil les accable, et le vent orageux
Les déchire, cruel comme nous dans ses jeux.
On les voit cependant, qui se pressent d’éclore,
Comme si dans leur sein devait...
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Pauvres fleurs d’un bouquet de fête, Peut-on, sans ironie amère, |