Comme un bétail pensif sur le sable couchées,
Elles tournent leurs yeux vers l'horizon des mers,
Et leurs pieds se cherchant et leurs mains rapprochées
Ont de douces langueurs et des frissons amers.
Les unes, coeurs épris des longues confidences,
Dans le fond...
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Beauté des femmes, leur faiblesse, et ces mains pâles |
Ô femmes, c'est pour vous que j'accorde ma lyre ; |
Les femmes sont sur la terre |
On leur fait des sonnets, passables quelquefois ; |
Quoiqu'on tient belles langagères |
Deux femmes aujourd'hui me donnent espérance |
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