Les lilas qui avaient fleuri l’année dernière
vont fleurir de nouveau dans les tristes parterres.
Déjà le pêcher grêle a jonché le ciel bleu
de ses roses, comme un enfant la Fête-Dieu.
Mon cœur devrait mourir au milieu de ces choses,
car c’était au milieu des...
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Lorsque je serai mort, toi qui as des yeux bleus |
La lune dans la nuit fait songer à la Terre |
La maison serait pleine de roses et de guêpes. |
Les violes grincent, |
Nous sommes les anges que l’on ne peut pas voir |
Ne me console pas. Cela est inutile. Un jour, tout simplement (ne me console pas !) |
Quand le vieux Madécasse aux doigts noueux mourra, Coiffé d’un vieux gibus, nu-jambes, un priera. |
Nous nous aimerons tant que nous tairons nos mots, |
O mon cœur ! ce sera dans l’Août bleu et torride. |