Air : Nos aïeux connaissaient à peine.
Quand mes yeux virent la lumière,
Par un pâle soleil d'avril,
Un petit lutin débonnaire
Me récréait de son babil.
D'une voix forte et glapissante,
Je criais à guérir les sourds,
Et le sylphe me disait « Chante,
» Bon courage! et chante toujours. »
Plus tard, pour m'assouplir le crâne,...