Longuement poursuivi par le spleen détesté,
Quand je vais dans les champs, par les beaux soirs d’été.
Au grand air rafraîchir mes tempes,
Je ris de voir, le long des bois, les fiancés
Cheminer lentement, deux par deux, enlacés
...
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Longuement poursuivi par le spleen détesté,
Quand je vais dans les champs, par les beaux soirs d’été,
Au grand air rafraîchir mes tempes,
Je ris de voir, le long des bois, les fiancés
Cheminer lentement, deux par deux, enlacés
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