Des perles encor mouillent son bras blanc.
Couchée en un lit de joncs verts & d’herbes,
Le sein ombragé d’un rameau tremblant,
Au bruissement des chênes superbes,
Aux molles rumeurs des halliers épais,
Non loin de la source elle rêve en paix.
Tandis qu’au...
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Quand j’aperçus tes yeux pour la première fois, De la beauté d’un jour mon âme fuit les lois, |
Toi qui vis au dedans d’une chair vulnérable, Ayant avec la vie un bail si peu durable, |