• À Rodolphe Darzens.

    L'ennui descend sur moi comme un brouillard d'automne
    Que le soir épaissit de moment en moment,
    Un ennui lourd, accru mystérieusement,
    Qui m'opprime de nuit épaisse et monotone.

    Pourtant nul glorieux amour ne m'a blessé,
    Et c'est sans regretter les heures envolées
    Que je revois au loin, vagues formes voilées,
    Mes...