Ne mêle pas l'esprit aux choses de la chair.
Sache, aux moments secrets où le corps est en fête,
Redescendre à l'obscur délire de la bête.
Tumultueux et sourd et fort comme la mer,
Laisse gronder tes sens en orgues de tempête,
Et que sous l'onde en feu de tes baisers halète
L'orgueilleuse impudeur de la beauté parfaite.
Il faut qu'au fond des soirs...