À F. Daubigny.
Je sais une vallée au fond des bois paisibles
Où la mousse déroule un tapis de velours ;
De parfums enivrés par des fleurs invisibles,
Les ramiers à mi-voix s’y content leurs amours.
Des grands hêtres touffus le dôme séculaire
En interdit l’entrée aux regards du soleil,
Ne laissant tamiser qu’un jour crépusculaire
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