I
Vraiment, c’est bête, ces églises des villages
Où quinze laids marmots encrassant les piliers
Ecoutent, grasseyant les divins babillages,
Un noir grotesque dont fermentent les souliers :
Mais le soleil éveille, à travers les feuillages
Les vieilles couleurs des vitraux irrégulier.
La pierre sent toujours la terre maternelle,
Vous verrez des...
...
Lui − Ta poitrine sur ma poitrine,
Hein ? nous irions,
Ayant de l’air plein la narine,
Aux frais rayons
Du bon matin bleu, qui vous baigne
Du vin de jour ?...
Quand tout le bois frissonnant saigne
Muet d’amour
De chaque branche, gouttes vertes,
Des bourgeons clairs,
On sent dans les choses ouvertes
Frémir des chairs...
La Rivière de Cassis roule ignorée
En des vaux étranges :
La voix de cent corbeaux l’accompagne, vraie
Et bonne voix d’anges :
Avec les grands mouvements des sapinaies
Quand plusieurs vents plongent.
Tout roule avec des mystères révoltants
De campagnes d’anciens temps ;
De donjons visités, de parcs importants...
Nous sommes tes grands parents.
Les grands,
Couverts des froides sueurs
De la terre et des verdures.
Nos vins secs avaient du cœur.
Au soleil sans imposture
Que faut-il à l’homme ? Boire…
Moi. — Mourir aux fleuves barbares.
Nous sommes tes grands parents
Des champs…
L’eau est au fond des osiers…
Vois le courant du fossé...
Quelqu’une des voix,
— Est-elle angélique ! —
Il s’agit de moi,
...
Elle est retrouvée.
Quoi ? L’éternité.
C’est la mer allée
Avec le soleil.
Âme sentinelle,
Murmurons l’aveu
De la nuit si nulle
Et du jour enfeu.
Des humains suffrages,
Des communs élans,
Donc tu te dégages :
Tu voles selon…
Jamais l’espérance ;
Pas d’orietur.
Science avec patience…
Le...
Est-elle almée ?... aux premières heures bleues
Se détruira-t-elle comme les fleurs feues...
Devant la splendide étendue où l'on sente
Souffler la ville énormément florissante !
C'est trop beau ! c'est trop beau ! mais c'est nécessaire
- Pour la Pêcheuse et la chanson du Corsaire,
Et aussi puisque les derniers masques crurent
Encore aux fêtes de nuit...