L’automne nous arrive, et la nature entière
Voyant, sombre et muet, son tombeau se rouvrir,
Comprend qu’elle est tout près de son heure dernière
Et, le cœur désolé, se prépare à mourir.
Mais si d’après nos lois il faut qu’elle succombe
Elle ne dira pas qu’elle se sent faiblir
Et, radieuse, un jour descendra dans la tombe,
Sans que nos yeux...