Par une nuit d’été, quand le ciel est d’azur,
Souvent un feu follet sort du marais impur.
Le passant qui le voit le prend pour la lumière
Qui scintille aux carreaux lointains d’une chaumière ;
Vers le fanal perfide il s’avance à grands pas,
Tout joyeux ; et bientôt, ne s’apercevant pas
Qu’un abîme est ouvert à ses pieds, il y tombe,
Et son corps reste...