Quand s'élancent leurs strophes d'or,
 Il faut aux Odes qu'on admire,
 Pour leur faire prendre l'essor,
 Les instruments et leur délire.
 Mais toi, mais toi, tu peux les lire !
 Car la Muse t'aime, et tu vois
 Qu'elle n'a plus besoin de lyre
 Avec les chansons de ta voix.
 Ta grave, ta charmante voix,
 Pure comme un cristal féerique,...
