• Desires-tu savoir à quoi je parangonne
    Le fuseau de tes ans ? Au savon blanchissant
    Soufflé par un tuyau de paille jaunissant,
    Dont un fol enfançon ses compagnons étonne ;

    En son lustre plus beau sa gloire l’abandonne,
    Au moindre choc de l’air, fragile, se froissant ;
    Ainsi devers le soir va la fleur ternissant,
    Qui, sur le point du jour vermeillement...