• Obsédé par ces mots, le veuvage et l’automne,
    Mon rêve n’en veut pas d’autres pour exprimer
    Cette mélancolie immense et monotone
    Qui m’ôte tout espoir et tout désir d’aimer.

    Il évoque sans cesse une très-longue allée
    De platanes géants dépouillés à demi,
    Dans laquelle une femme en grand deuil et voilée
    S’avance lentement sur le gazon blêmi.

    ...