J’étais parti, voyant le ciel limpide et clair
Et les chemins séchés, afin de prendre l’air,
D’ouïr le vent qui pleure aux branches du mélèze,
Et de mieux travailler : car on est plus à l’aise,
Pour méditer le plan d’un drame projeté,
Refondre un vers pesant...
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Quand un voile brumeux enveloppe Lutèce,... |
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Le sage aime la paix et la douceur des plantes, |
Sonnet |