O douce et tendre fleur éclose avec l'aurore
De son midi brûlant le jour est loin encore,
Pourquoi t'incliner pâle et triste ainsi que moi ?
Attends que le soleil ait voilé sa lumière,
Attends que le trépas ait fermé ma paupière,
Car je voudrais m'éteindre...
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Fleur modeste des champs quelle est ta destinée ? |
Oh ! vous m’avez trompé, vous aussi, fleurs que j’aime ! |