• XLVIII. (48)

    1. Willig und trew,
    ohn alle rew,
    ich mich ergib,
    wil auch mein gelübd,
    stets halten dir,
    gantz unverkehrt, das glaube du mir.

    2. Ich mich versich,
    du werdest mich,
    o jungfraw rein,
    auch halten fein,
    gegen mir auffs...

  • 48.

    48.
    Sieh, ich trage meine Tage,
    Immer unterwegs nach dir,
    Jeder Pendelschlag ist Plage,
    Jede Stunde wird zur Frage:
    Wann, Geliebter, kommst du mir?

    Wollt, ich fände deine Hände /
    Milden Trost für wilden Traum /
    Daß die Seele nach dem Ende
    Still in deiner Hand sich...

  • Lorsque ce grand courrier de la philosophie,
    Condamine l’observateur,
    de l’Afrique au Pérou conduit par Uranie,
    par la gloire, et par la manie,
    s’en va griller sous l’équateur,
    Maupertuis et Clairaut, dans leur docte fureur,
    vont geler au pôle du monde.
    Je les vois d’un degré mesurer la longueur,
    pour ôter au peuple rimeur
    ce beau nom de...

  •  
    Et, là-bas, mieux que les cavales
    Les hardis clairons hennissaient.
    Et les voix d’airain des cymbales
    Plus que le glaive frémissaient ;
    Comme des chœurs de suppliantes,
    Des cris de veuves et de sœurs,
    Qui, le sein nu, toutes sanglantes,
    Lèvent les mains vers les vainqueurs,
    Et chancelant dans son ivresse
    Le glaive écoutait ces...