• [267] Zur Kriegserklärung 1870.

    Schon in der Jugend Morgentagen
    Fühlt ich mich als ein Kind der Zeit
    Und ihrem Hoffen, ihren Fragen
    War stets mein Wort, mein Lied geweiht.

    5 Mein ganzes...

  • Elle a des yeux d’acier ; ses cheveux noirs et lourds
    Ont le lustre azuré des plumes d’hirondelle ;
    Blanche à force de nuit amassée autour d’elle,
    Elle erre sur les monts et dans les carrefours.

    Et nocturne, elle emporte à travers les cieux sourds,
    Dans le champ sépulcral où fleurit l’asphodèle,
    La pâle jeune fille idéale, et fidèle
    À quelque rêve...

  • Maître Laurent Coster, cœur plein de poésie,
    Quitte les compagnons qui du matin au soir,
    Vignerons de l’esprit, font gémir le pressoir ;
    Et Coster va rêvant selon sa fantaisie.

    Car il aime d’amour le démon Aspasie.
    Sur son banc, à l’église, il va parfois s’asseoir,
    Et voit flotter dans la vapeur de l’encensoir
    La dame de l’enfer que son âme a choisie...

  • C’était la nuit ardente et le retour du bal ;
    Vaincue et triomphante et chastement lascive,
    Elle disait d’un ton de bien-être : J’ai mal !…
    Les roses s’effeuillaient sur sa tête pensive
    Où murmurait encor l’âme des violons ;
    Son pied avait parfois un spasme mélodique.
    Le mouchoir de dentelle au bout de ses doigts longs
    Glissait ; et sur les bras du...