Eh quoi ! votre printemps sourit à mon automne,
Y pensez-vous, jeune beauté !
J’ai l’âge où les ardeurs ont besoin d’une tonne ;
Il faut à boire à ma gaîté.
Coupe en main, vous plaît-il de me...
Eh quoi ! votre printemps sourit à mon automne,
Y pensez-vous, jeune beauté !
J’ai l’âge où les ardeurs ont besoin d’une tonne ;
Il faut à boire à ma gaîté.
Coupe en main, vous plaît-il de me...
J’aime tes belles mains longues & paresseuses,
Qui, pareilles au lis, n’ont jamais travaillé,
Mais savent le secret des musiques berceuses
Qui parlent à voix lente au cœur émerveillé. —
J’aime tes belles mains longues & paresseuses.
J’aime tes petits pieds vifs & spirituels,
Petits pieds éloquents de la cheville aux pointes,
Que les saints...