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La nue était d’or pâle, et d’un ciel doux et frais, Un arome léger d’herbe et de fleurs montait ; |
La nue était d’or pâle, et d’un ciel doux et frais, Un arome léger d’herbe et de fleurs montait ; |
Toi, dont l’âme est à peine éclose,
Dont les larmes vite apaisées, |
Toi dont les yeux erraient, altérés de lumière, |
Dors, Maître, dans la paix de ta gloire ! Repose, |
Du pied des sommets bleus, là-bas, dans le ciel clair, |
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L’aigu bruissement des ruches naturelles, Le vent léger du large, en longues nappes... |