Atlas porte le monde, et, les poings sur les reins,
Suant, le front plissé, le sang à la narine ;
Il pleure, et dans le creux de sa grande poitrine
Appuie en gémissant sa barbe aux rudes crins.
« Debout ! forgez des socs, des leviers et des freins !
Crie Atlas aux mortels que le travail chagrine ;
Les bêtes, les forêts, les champs et l’eau marine,...