C’était l’heure où la terre appartient au soleil,
Où les chemins poudreux luisent d’un ton vermeil,
Où rien n’est confondu dans l’aride campagne,
Où l’on voit les troupeaux couchés sur la montagne,
Et le pâtre bruni, dans les plis d’un manteau,
Dormir nonchalamment...
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Ô mère d’Allegri ! Parme, cité chrétienne, J’ai vu Pompéi morte, et comme une Athénienne, |
Divine Juliette au cercueil étendue, |
Qu’est-ce donc, ô mon Dieu ! que de la gloire humaine, Oh ! n’est-ce point assez de la poussière vaine |
Salut, ô Raphaël ! salut, ô frais génie ! Salut, douce candeur à la pâleur unie, |