Sakhar, fils de Sharîd, homme plein de vaillance,
Dans un combat reçut au flanc un coup de lance ;
La blessure n’était point bonne, &, dans son lit,
Depuis un an bientôt tristement il languit.
Sa femme, qui le soigne & qui le quitte à peine,
Y trouve tant d’ennuis qu’elle l’a pris en haine.
Il l’entend une fois, dans ses noires humeurs,
...