Hélas ! pourquoi si tard t’ai-je donc rencontrée,
Rose de mon automne, ô mignonne adorée ?
Pourquoi, pourquoi si tard ?... Je songe bien souvent
Que jadis, moi, jeune homme, et toi, petite enfant,
Nous étions des voisins, et que, sans nous connaître,
Moi, mûr trop tôt, et toi, venant presque de naître,
Nous habitions tous deux dans ce coin de Paris...