• Ô mon coeur plein d'ennuis, que trop prompt j'arraché
    Pour immoler à une, hélas ! qui n'en fait conté !
    Ô mes vers douloureux, les courriers de ma honte,
    Dont le cruel Amour ne fut jamais touché !

    Ô mon teint pâlissant, devant l'âge séché
    Par la froide rigueur de celle qui me dompte !
    Ô désirs trop ardents d'une jeunesse prompte !
    Ô mes yeux dont...