• Ma belle languissait dans sa funeste couche
    Où la mort ces beaux yeux de leurs traits désarmait,
    Et le feu dans sa moëlle allumé consumait
    Les lys dessus son front, les roses sur sa bouche.

    L'air paraissait autour tout noir des nuits funèbres
    Qui des jours de la vie éteignent le flambeau
    Elle perdait déjà son corps dans le tombeau,
    Et sauvait dans...