À présent voici comme une prière,
et c’est la vie d’ici qui dit son temps
selon le soleil, le jour et la mer,
et les villes où l’aller des passants
montre chacun œuvrant à sa manière :
seigneur à cheval, à pied paysan,...
À présent voici comme une prière, montre chacun œuvrant à sa manière : |
Je n’aimerai jamais, je n’ai jamais aimé ; |
J’ai voulu retrouver le primitif accent, |
Le soleil a clos sa paupière Pas un lambeau de vent ne rase |
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Mon Dieu ! toi qui sais tout, oh ! ne m’ordonne pas |
Berger du monde, clos les paupières funèbres Va, pars ! Suis le chemin antique des aïeux. |
Père suprême ! comble ton fils |
Comme un ange gardien prenez-moi sous votre aile ; Car Jésus le doux maître, aux célestes tendresses, |
Mon rêve est simple : il est trop simple, ô mon enfant, Le soir, auprès du feu, quand il ferait du vent |