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          Tête pâle de ma Chimère
    Dont j’ai, sans la comprendre, adoré la pâleur,
    Tu joins donc maintenant à ce premier mystère,
          Le mystère de ta rougeur !
    Le vermillon soudain qui te prend au visage,
    Quand, ce visage aimé, tu le tournes vers moi,
    Est trop brûlant, trop noir, et roule trop d’orage,
    Pour être de ton sang, ma Chimère au cœur...