J’aimerais vous chanter l’eau blanche du torrent,
Qui dans la nuit des pins circule en murmurant,
Car j’entends de ses flots les bruyantes batailles,
Autour des rocs moussus, sous les grandes broussailles.
Je pourrais du taureau dire le grondement,
Lorsqu’aux pentes des monts, se levant lourdement,
Il promène le soir son regard fier et louche
...