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    Creusez, jeune ouvrier... Dans la nuit souterraine
    Le vent du ciel apporte un parfum de printemps.
    L’air est bleu, l’air est frais, remontez vers la plaine ;
    Là, peut-être l’amour vous pleure dés longtemps.

    « Bientôt je reverrai la blonde Eléonore, »
    Se disait le pâle Robert ;
    Et dans ce vague espoir, il creuse, il creuse encore ;
    La roche...