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    L’airain sonne ; aux clartés de la lune sereine,
    Sous des voiles d’azur, la nuit d’été ramène
    Les larmes dans les bois et la rosée aux fleurs.
    Dans l'échoppe, au vallon, boivent deux voyageurs.

    Voyez, au travers du vitrage,
    Où l’ormeau berce son feuillage,
    Le croissant les montre à demi.
    Souriant avec amertume
    A sa coupe, où la bière...