Aidez-moi dans ma fuite, ô les beaux vents fidèles !
Car je sens remuer en moi mes longues ailes !
Et sans craindre l’effroi des espaces amers,
J’obéis à l’appel impérieux des mers !
Je ne sais où j’irai, ni quel souffle m’emporte…
Mais je ne reviendrai que triomphante ou morte,
Je n’obéis qu’à vous, à votre étrange loi....