Ô toi que l’univers adore,
Ô toi que maudit l’univers,
Fortune, dont la main, du couchant à l’aurore,
Dispense les lauriers, les sceptres et les fers,
Ton aveugle courroux nous garde-t-il encore
Des triomphes et des revers ?
Nos malheurs trop fameux proclament ta puissance ;
Tes jeux furent sanglans dans notre belle France :
Le peuple...