À M. Philippe Pelletier.
Derrière le coteau le soleil a sombré,
Marquant l’horizon bleu d’un long sillage rose,
Et le vieux laboureur, revenu de son pré,
S’est assis, seul, devant sa porte, et s’y repose.
Il s’y repose, en paix, tourné vers...
Derrière le coteau le soleil a sombré, Il s’y repose, en paix, tourné vers... |
Éloignez de mes yeux les flamboiements barbares Éteignez la splendeur du Jaune, cri de l’or, |
Contemple les couleurs des ténèbres. Tes yeux J’ai vu le violet des nuits graves et douces, |
Peut-être un jour l’époux selon l’amour, l’épouse |
Je connais, Madame, un bonhomme Elle a de l’œil et de la taille, |
La neige a chu, myriadaire et successive,
Couvrant la grange vieille et le fournil branlant, Posant en rond un pommeau blanc. ...
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Ô cri |
Savez-vous bien, ô femmes, Dénommés crinolines. |
Un cri s’élève, et vole, et frappe, et puis s’étend Ô ces milliers de pas, sur ces milliers de routes, |
I La mystique Bretagne est une bonne vieille |