Entrant le peuple en tes sacrez bocaiges,
Dont les sommez montent jusques aux nues
Par l'espesseur des plantes incognues,
Trouvoit la nuict en lieu de frez umbraiges.
Or te suivant le long des beaux rivaiges
Où les neuf seurs à ton chant sont venues,
...
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Au temps d'hiver qu'il faisait fâcheux temps |
Jadis plus d'un amant, aux jardins de Bourgueil, |
Les canaux somnolents entre les quais de pierre |
Tu ne me vois jamais, Pierre, que tu ne die |
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