Le ciel flambe et la terre fume,
La caille frémit dans le blé ;
Et, par un spleen lourd accablé,
Je dévore mon amertume.
Sous l’implacable Thermidor
Souffre la nature immobile ;
Et dans le regret et la bile
Mon chagrin s’aigrit plus encor.
Sous l’implacable Thermidor |
L’an mil quatre cent trois, juste un mois après Pâques, |
À Claudius Popelin, maître émailleur. Après avoir blanchi sous un grimoire antique, Mais, comme pour... |
J’AURAI cinquante ans tout à l’heure ; Je souffre pourtant aujourd’hui |
Puisqu’à peine désenlacée Il faut, ce soir, que je surmonte Pourtant... |
Non, ce n’est pas en vous « un idéal » que j’aime, |
Maman, et toi, vieux père, et toi, ma sœur mignonne, |
Rougissante & tête baissée, |
Du temps que Sigismond... |
À Hyacinthe Guadet-Azaïs. Devant la loterie éclatante, où les lots Colossal, aux lueurs sanglantes des... |