L’empereur vit, un soir, le soleil s’en aller ;
Il courba son front triste, et resta sans parler.
Puis, comme il entendit ses horloges de cuivre,
Qu’il venait d’accorder, d’un pied boiteux se suivre,
Il pensa qu’autrefois, sans avoir réussi,
D’accorder les humains...
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Connais-tu deux pestes femelles L’une au teint blême, au cœur de lièvre, Non pas cette fièvre amoureuse,... |
J'ai lu ta vive Odyssée Pour toi seul l'aimable Muse, Par le faux goût exilée |