Selon le rhythme lent de vers scandant ses pas,
Le Riçhi matinal traverse la pelouse.
Vers le sein d’Yamî, ta sœur et ton épouse,
Remonte, fils des Eaux ! le courant du trépas.
YAMÎ.
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Vent, flèche, oiseau, tu passes L’ombre diminuée |
Ta colère triomphe, ô Kâla ! nul refuge. Telle qu’un grand ravin par Marût habité, Où sont les... |
C’est une chambre où tout languit et s’effémine ; Plein de la voix mêlée autrefois à la sienne, |
Çûrya fait resplendir et fumer les rivages. Là-bas, roulant son ombre aux pentes du ravin, |