De ta robe à longs plis flottants
Ruissellent toutes les chimères,
Et tu m’apportes le printemps
Dans tes mains blondes et légères.
J’ai peur de ce frisson nacré
De tes frêles seins, je ne touche...
J’ai peur de ce frisson nacré |
X
Quinze longs jours encore et plus de six semaines |
Débouclez-les, vos longs cheveux de soie, |
Cheveux crêpes et longs où mon coeur se désire |
Ô longs désirs, ô espérances vaines, |
A longs filets de sang ce lamentable corps |