• Mon âme languissait, et d'une longue haleine,
    Par mes tristes soupirs, j'allégeais en ma peine
    Mon éternel regret, et logeais en mes os
    Les soucis importuns qui m'ôtaient le repos.
    Tout m'était déplaisant et ma gêne cruelle
    Me pressait sous l'horreur de sa force mortelle,
    Tandis que loin de vous, je n'ai eu en mon coeur
    Que peine, que souci, que travail, que...