Pour une dame imaginaire
Aux yeux couleur du temps,
J'ai rimé longtemps, bien longtemps :
J'en étais poitrinaire.
Quand vint un jour où, tout à coup,
Nous rimâmes ensemble.
Rien que d'y penser, il me semble
Que j'ai la corde au cou.
Pour une dame imaginaire
Aux yeux couleur du temps,
J'ai rimé longtemps, bien longtemps :
J'en étais poitrinaire.
Quand vint un jour où, tout à coup,
Nous rimâmes ensemble.
Rien que d'y penser, il me semble
Que j'ai la corde au cou.
Ces premiers froids que l'on réchauffe d'un sarment, |
Circé des bois et d'un rivage Les tambours du Morne Maudit Rêves d'enfant, voix de... |
A Londres je connus Bella, Et peut-être aimait-il la mangue ; Et la tienne vaut... |
J'ai beau trouver bien sympathique Faime mieux le subtil schéma, Et tes cèdres noirs, et la source |
Longtemps si j'ai demeuré seul, D'une figure trop aimée, Ta pâleur, tes sombres dentelles,... |