Parsifal a vaincu les Filles, leur gentil
Babil et la luxure amusante — et sa pente
Vers la Chair de garçon vierge que cela tente
D’aimer les seins légers et ce gentil babil ;
Il a vaincu la Femme belle, au cœur subtil,
Étalant ses bras frais et sa gorge excitante ;
Il a vaincu l’Enfer et rentre sous la tente
Avec un lourd trophée à son bras puéril,
Avec la lance qui perça le Flanc suprême !
Il a guéri le roi, le voici roi lui-même,
Et prêtre du très saint Trésor essentiel.
En robe d’or il adore, gloire et symbole,
Le vase pur où resplendit le Sang réel.
— Et, ô ces voix d’enfants chantant dans la coupole !