Ich kann doch nie vergessen in alle Zeit
Bis an des Todes mohnumblühte Pforte,
Den stillen Zauber deiner Zärtlichkeit
Und deine lichten, liebdurchbebten Worte!
Du warst mein Freund! und zogst du heimlich aus,
Weithin gelockt vom heißen Glück der andern,
Ich gönnte dir den roten Freudenstrauß ...
Dein Leiden nur soll pilgernd zu mir wandern.
- Du warst mein Freund! Als deine weiche Hand
Liebkosend strich durch meine braunen Locken,
Da klangen unsre Seelen wahlverwandt
Wie reingestimmte sonntägliche Glocken!
Du warst mein Freund! .. In deiner Arme Haft,
Fand ich das Heil für alle Lebenswunden,
Ruhvolle Rast nach langer Wanderschaft,
Nach siechen Tagen seliges Gesunden ...
Es war ...
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I
La ronce, en ces temps-là, sur les bords du Jourdain,
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Lorsque Jésus la vit, venant de Béthanie.Et pour la transplanter dans son divin jardin
Il voulut... -
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Où vont les grands nuages ?C’est l’escadre de Dieu
Qui sille sous l’orage,
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C’est l’... -
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Frôlant de leurs... -
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