Bruselas

Boulevard del Regente

Arriates de amarantos hasta
el agradable palacio de Júpiter.
– ¡Sé que eres Tú, quien por aquí,
mezclas tu Azul, casi sahariano!

Luego, cual rosas y abetos solares
y lianas que tienen sus juegos cercados,
¡jaula de la viudita…!
¡Singulares
tropas de pájaros, oh iao, iao…!

– ¡Tranquila mansión, antigua pasión!
Kiosco de la Loca por afección.
Tras nalgas de rosales, el balcón
umbrío y muy bajo de la Julieta.

– La Julieta me recuerda a la Enriqueta,
encantadora estación de tren
en un monte, como al fondo de un vergel
¡do a mil azules diablos danzando se ve!

Verde banco do canta al paraíso jadeante,
en la guitarra, la pálida Irlandesa.
Luego en el comedor a la guayanesa,
parloteo de jaulas y de unos infantes.

Ventana de duque por la que pienso
en veneno de boj y de caracoles
que se duerme aquí bajo los soles.
¡Excesiva beldad! Guardemos silencio.

– Boulevard sin comercio ni movimiento,
mudo, todo drama y toda actuación,
de infinitas escenas eres reunión,
te reconozco y te admiro en silencio.

Collection: 
1874

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...