Lorsque sur ma fenêtre, à l'heure du réveil,
Légèrement se pose un rayon de soleil,
Un rayon d'espérance entre aussi dans mon gîte ;
C'est comme un ami cher qui, vous faisant visite,
Par de joyeux propos éclaire votre ennui,
Et ce jour-là vous rend égayé comme lui.
Donc, souriant des yeux au rayon d'or qui brille,
Léger d'âme et de corps, sans retard je m'habille,
Puis je m'en vais heureux de tout ce que je voi :
Le rayon matinal dore tout devant moi.
« Lorsque sur ma fenêtre »
More from Poet
Ô maison du Moustoir ! combien de fois la nuit, |
À Berthel. Avec une jeune veuve, C'était en juin, la chaleur était grande |
Je crois l'entendre encor, quand, sa main, sur mon bras, |
Ô mes frères, voici le beau temps des vacances ! |
Écris-moi, mon ami, si devant ta faucille Hélas ! durant ce mois d'ardente canicule, |