• O vierges qui goûtez la fraîcheur des fontaines,
    Êtres de solitude avides d’infini,
    Fuyez la Satyresse aux prunelles hautaines,
    Au regard que l’éclat du soleil a terni.
    Sa fauve chevelure est semblable aux crinières
    Et son pas est le pas nocturne des lions.
    Sa couche a le parfum...